Un livre récent de l’historien Olivier Meuwly invite à lever davantage le voile sur ce Neuchâtelois élu au gouvernement suisse à l’âge de 31 ans. Inspirant par son parcours, ce radical devenu libéral-conservateur au fil du temps garde une part de mystère. (suite…) Ce contenu …
L’essayiste français Samuel Fitoussi publie «Pourquoi les intellectuels se trompent», un essai incisif sur les mécanismes qui poussent certains esprits brillants à défendre des idées absurdes, avec des conséquences parfois désastreuses.
Selon Mark Schelker, la Confédération manque de données fiscales clés. L’économiste plaide pour une centralisation sécurisée des informations afin de mieux prévoir les effets de réformes fiscales, comme l’initiative des Jeunes socialistes sur les successions. (suite…) Ce contenu est réservé à nos …
Critiquer les élites ne revient pas à les rejeter, mais suppose justement de croire encore en leur mission. A condition de ne pas basculer dans l’opposition systématique.
A l’heure de turbulences géopolitiques, l’interventionnisme peut être souhaitable, à condition que le pouvoir politique soit capable de faire marche arrière ensuite. Or, rien n’est moins sûr en ce qui concerne un pays comme la France, par ailleurs déjà surendetté.
Professeur au Pasadena City College de Los Angeles, Edward Feser est un philosophe américain d’obédiance conservatrice. Récemment, sur son blog où il commente régulièrement l’actualité, il s’est montré très critique à l’égard des vélléités expansionnistes de Donald Trump.
La Suisse n’aime pas les héros, surtout les siens. Ce n’est pas grave en soi. Sauf si cela revient à extirper l’individu de l’histoire, au risque de la rendre inintelligible. En ce sens, ce pays aurait intérêt se réapproprier ses grandes figures.
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par Ralph Müller
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par Pascal Couchepin
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